Le président de la BCE estime que la solidité de l'euro et de la zone euro est largement sous-estimée. Il compare l'inflation, l'emploi, la productivité, le déficit, la dette, les comptes courants et la cohésion sociale de la zone euro avec ceux des USA et Japon.
Il souligne l'importance des progrès accomplis dans les six derniers mois, en matière de convergence, au niveau national, contrôle des déficits, réformes structurelles, et au niveau supranational.
"Le dernier sommet a été un réel succès parce que pour la première fois en beaucoup d'années, tous les leaders des 27 pays d'Europe, Royaume Uni inclus, ont dit que le seul chemin pour sortir de la crise est d'avoir davantage d'Europe et pas moins d'Europe."
Il considère que le capital politique investi dans l'euro est sous-estimé et que l'euro est irréversible au sens politique.
Il présente les challenges de court-terme: adresser la fragmentation financière, l'aversion au risque, la sous-capitalisation, les primes trop élevées sur les emprunts d'états.
Global Investment Conference in London 26 juillet (en)
Interview dans le Monde le 18 juillet
Commentaire Bloomberg (en)
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